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L’une des entreprises phares de Montpellier vient de privatiser le Catamaran Picardie II. Son objectif : offrir à ses salariés une sortie d’équipe vraiment sympa.

Les mots d’ordre de cette journée atypique : tous ensemble… mais seuls au monde ! Bref, une balade en mer suivie d’une journée Robinson !

L’ensemble du staff est embarqué à 12h30 à bord du Catamaran Picardie II, au Grau-du-Roi. Pour bien commencer : collation et boissons fraîches à bord. Le soleil est là. On mange froid. On sirote tranquillou. Les équipes préfèrent rester debout, se déplacer de bâbord à tribord. Rire ensemble. Applaudir lorsque la voile se hisse. Direction : une croisière en Camargue ? Non, une plage sauvage. Inaccessible à pied.

 

Privatiser un bateau… ou une plage ?

Quand on dit inaccessible à pied, ça veut vraiment dire… inaccessible à pied : le staff débarque en zodiaque, en plusieurs groupes.

Dans une nature oubliée, quelques tentes de camouflage les attendent pour une journée « koh Lanta sympa » 🙂

Les équipes se mesurent à des jeux de plage. Certaines gonflent des bateaux, s’essayent au paddle, enfilent masques et palmes pour découvrir les fonds marins. Ici, loin des plages traditionnelles, l’eau est claire. D’autres se promènent dans les dunes, se baignent, bronzent, s’endorment !

L’après-midi s’étire. On oublie le temps qui passe. On oublie tout. Le boulot, les deadlines, les impératifs budgétaires, les charrettes… On se remplit d’air, de soleil et de joie de vivre. On fait le plein d’énergie. On découvre ses collègues autrement.

 

Privatiser un bateau… et donner la banane aux équipes !

Il paraît que ça s’appelle du team building ou une opération de motivation interne ou encore un incentive. Il paraît que le but du jeu c’est de motiver les équipes, de fédérer les collaborateurs, de rebooster la créativité.

Nous, on appelle ça, passer une bonne journée. Et quand on voit les gens quitter le catamaran à 19h, le sourire aux lèvres, on se dit : pari gagné !

Alors, si vous avez envie redonner la banane à vos équipes, voici la solution : la privatisation du bateau !